autofictiographie #12, mes cailloux de nerfs.
sans l’illusion, je trahirais le désirl’arrêterais avant son récitavant l’enthousiasme— comme de vivre sans voix brute (extrait) #LittéraTube […]
sans l’illusion, je trahirais le désirl’arrêterais avant son récitavant l’enthousiasme— comme de vivre sans voix brute (extrait) #LittéraTube […]
je regarde mes mains comme de me vérifier dans un miroirle silence de la ville me relie à […]
j’ai oublié mes mots d’enfantdemain si prévisible que paupières se crispent, présent manquéla chaleur m’empêche d’analyser, genoux ramollisje […]
insupportable humain agglutiné alors que vents flottent alentour je gargouille de honte mangée ennemis ces autres que nous […]
(…)les aliments ramenés en France sont sans saveur, chargés de nostalgie, ils perdent leur croquante simplicité,la justesse du […]
(…) la présence est corps,prodigieux poids de l’autre dans la chaircertaines rencontres, comme apparitionsces fantômes prisonniers de nos […]
autofictiographie du confinementconfinement J20 extrait : stupeur d’oiseaux dans les oreillesmarcher me manquefrêles nos mots d’encre inutilej’assiste à […]
autofictiographie du confinementconfinement J18 extrait : je rappelle les amis perdus de vue,dialogues de fantômeshabiter la cuisine, recettes […]
extrait : dire « je t’aime » en libanais, c’est t’aimer autrementj’écoute craquer mes os, mon corps castagnettesj’ai […]
Extrait : (…) je m’émerveille toujours du déclic des interrupteurs : lumière!foudre, éclairs et je redeviens toute petitetonne […]