sommes-nous raidis, creusés de trop de mots failles de nos regards obèses, sans écorce de pensée nous flânons, entre filiation et absence pris dans une chair vaine comme univoque tissu usés de cendres, on tremble éventrés sommes-nous remous de nuages gelés vertèbres de pluie quand l’heure se tait sommes-nous parenthèses de vent sur des visages sans consolation qui scrutent et nous évitent on tremble on tremble des os.
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