Merci immense à Claude Vercey !
Gracia Bejjani donne à lire aujourd’hui un nouvel ensemble inédit je nous répète, qui mène, selon l’auteure, du Je qui ressasse l’étrangeté du lien amoureux au Je qui hante le Nous collectif, illustrant cet apparent paradoxe, peu indiscutable cependant (me semble) : Il n’y a de Je que pluriel.
Extrait : « Un ensemble significatif de poèmes, extraits de je nous répète – plus exactement, et pour des raisons de cohérence, de la première partie intitulée : il n’est de nous que ressassé – sera proposé dans un prochain Décharge, le 199 selon toute vraisemblance, à l’automne. Présentement, de manière apéritive et pour calmer les impatiences, un exemple de ces longs poèmes de Gracia Bejjani. »
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http://www.dechargelarevue.com/Poursuivre-avec-Gracia-Bejjani.html