oublie le pays
oublie sa peau
chaude comme sang
oublie le sang, sa lumière
oublie la mer, son évidence
le désordre des corps humides
les muscles harassés de cris
oublie les rondes ailées des moustiques
insomnies de mains vaines, de nerfs
oublie l’odeur des klaxons (extrait)
LittéraTube #VidéoEcriture #poésie
micro journal 212-2021.07.26