yeux des hommes sur ton corps, leurs yeux ne croisent pas ton regard, ils évitent tes yeux bavards, tu es masse serrée, corps à regarder. leurs clins d’œil vers toi, ils parlent à qui, complices de quoi. regards d’inconnus, font le tour de toi, comme cordes et ton bassin cloué. aqueuses chaînes t’étranglent et broient. regards papillons dans tes cheveux, t’effleurent t’envahissent. (extrait)
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micro journal 208-2021.07.11