(…)poursuivre la vie immobile, la vie à défaut
lourde de doutes, obsédée d’absence
serrée illisible entre les heures qui s’égouttent
tu es mon ciel désormais par l’infini de la mer
traversée de quel orgueil, je te reproche mon abandon
paupières désarmées, nues de larmes (extrait)
LittéraTube #VidéoEcriture #poésie
micro journal 194-2021.05.16