je retiens mes doigts, intime refuge
sauvage comme vulnérable enfant
je m’agite, que corps se souvienne de la vie
je ne contiens pas, je déborde
me cogne d’impatience
l’humide frénésie
ma peur gravité
s’apaise au silence des coins
j’écris, lents mots de hasard
je suis le rat des murs (extrait)
Musique : Omar Yagoubi – Le grand calme
LittéraTube #VidéoEcriture #poème
micro journal 173-2021.01.23