Beyrouth: chronique d’un effondrement à distance
Gracia Bejjani a quitté le Liban à 20 ans, mais elle était auprès des siens, à Beyrouth, quelques jours avant l’explosion du 4 août. Elle confie sa peur, sa colère, mais aussi l’admiration qu’elle ressent pour la détermination de la jeunesse libanaise.
Extrait : « (…)Larmes au corps, comme les mots ; nécessité de broder de mots l’horreur pour limiter son ampleur, la confusion. Contenir sans recouvrir, en marge s’il le faut, puisque je n’y suis pas. Écrire, densifier l’expression comme bouclier de pudeur, prudence qui assèche. L’indécence, ma hantise(…) »
lire le texte intégral:
https://www.courrierinternational.com/article/temoignage-beyrouth-chronique-dun-effondrement-distance