Par ciel lait Tu n’auras rien, il me dit Le rien d’un ciel clos blanc Tu n’auras rien, dit-il de ces mots qui lapident de face Je ramasse ma petite foi Me déverse, stériles naufrages Ces étranges je t’aime Tu n’auras rien, dit-il me parlant de toi Je m’accorde, monticule de nos reflets Te tenaille entre mes serres rapaces Portique sur la honte Et pends devant tes crevasses sableuses Honte de mes poussières De mes tonnerres humides devant ton corps Je sombre empreintes de tes pas Honte de supplicier silence Le vacarme n’est pas rugissement de cieux mais foudre domestique.
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