tu te jettes vivant
quels seins pour te rattraper
comme petit et virevoltes d’airs
désormais enclos en un corps-batailles
tu le cognes aux ombres
tu mâches, basse-bile
bercer n’apaise pas
tu brouillonnes
tête cousue récits d’humains
puis l’instant où tu prends rythme
rythme, l’ultime grâce
en tes entrailles, vagues
pouls
la vidéo réalisée avec ce texte est aussi à regarder ici:
https://graciabejjani.fr/2019/03/30/tu-te-jettes-vivant/